The movie

María Jerez

Le 11 janvier

The Movie s’appuie sur les attributs des films qui tournent autour d’un cambriolage, L’Affaire Thomas Crown, Ocean’s Eleven ou Braquage à l’italienne. Lorsqu’un genre se codifie de manière aussi forte, une structure se dégage que le spectateur reconnaît au premier coup d’œil. Après quelques minutes, nous pouvons déjà pressentir les rebondissements de l’histoire. En ce sens, comme le suggère le titre The movie n’est pas un film, mais LE film parce qu’il se réfère à un archétype qui couvre un large éventail de productions. Ce qui différencie ce film des autres, c’est le choix d’une totale invraisemblance. Il ne cherche pas à atteindre une crédibilité à travers décors et accessoires. Les appels se reçoivent au travers du pommeau de douche et les lasers qui permettent de préserver les œuvres d’art proviennent d’une pelote de laine rouge. Et le comble c’est que cela n’a aucune importance. Nous nous laissons embarquer par l’histoire de la même manière qu’avec un film conventionnel. Et nous apprécions de plus cette virtuosité imaginative qui se révèle source d’un intense effet comique.

Un film créé au sein du projet The Neverstarting Story, une collaboration entre Amaia Urra, Cristina Blanco, María et Cuqui Jerez, quatre artistes qui travaillent habituellement de façon indépendante dans un domaine qui est la frontière entre la chorégraphie, performance, vidéo et le théâtre.

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The Movie s’appuie sur les attributs des films qui tournent autour d’un cambriolage, L’Affaire Thomas Crown, Ocean’s Eleven ou Braquage à l’italienne. Lorsqu’un genre se codifie de manière aussi forte, une structure se dégage que le spectateur reconnaît au premier coup d’œil. Après quelques minutes, nous pouvons déjà pressentir les rebondissements de l’histoire. En ce sens, comme le suggère le titre The movie n’est pas un film, mais LE film parce qu’il se réfère à un archétype qui couvre un large éventail de productions. Ce qui différencie ce film des autres, c’est le choix d’une totale invraisemblance. Il ne cherche pas à atteindre une crédibilité à travers décors et accessoires. Les appels se reçoivent au travers du pommeau de douche et les lasers qui permettent de préserver les œuvres d’art proviennent d’une pelote de laine rouge. Et le comble c’est que cela n’a aucune importance. Nous nous laissons embarquer par l’histoire de la même manière qu’avec un film conventionnel. Et nous apprécions de plus cette virtuosité imaginative qui se révèle source d’un intense effet comique.

Un film créé au sein du projet The Neverstarting Story, une collaboration entre Amaia Urra, Cristina Blanco, María et Cuqui Jerez, quatre artistes qui travaillent habituellement de façon indépendante dans un domaine qui est la frontière entre la chorégraphie, performance, vidéo et le théâtre.

Distribution

  • conception et réalisation Maria Jerez
  • avec Amaia Urra, Cristina Blanco, María Jerez et Cuqui Jerez