Ce travail s’interroge sur la question de perception et d’interprétation de notre mémoire. Utilisant le vécu de tous, ce projet propose une re-visite sensorielle de nos habitudes. La peur en tant qu’outil est le moteur de la pièce ; elle nous fait parcourir les chemins de notre imaginaire et nous accompagne dans l’ombre de chacun, là exactement où se cache le « commun ».

La collaboration étant au cœur de la création, elle devient le sujet même de la pièce et essaye d’englober toute personne présente dans l’espace du projet.

Le « commun » ou « l’ensemble » sont le résultat d’expériences partagées. On pourrait se rallier en ces termes au sens réel de l’art populaire ou art laïque.