JE PENSE COMME UNE FILLE ENLEVE SA ROBE
Perrine Valli
Du 29 janvier au 08 février 2009
Et si le corps nu n’était pas un corps sans vêtement, mais un corps sans limites ? Accessible à tous, comme le corps prostitué. Touché et touchant. Or par opposition à la vision qui naturellement englobe, le toucher déconstruit l’unité. A travers limites fécondes et découpages qui enrichissent le sens, Perrine Valli construit sa réflexion sur le corps prostitué et la relation qu’il instaure entre le féminin et le masculin. L’homme, principal consommateur, peut-il rester dans l’ombre ? Quel regard pose une femme – chorégraphe sur la prostituée qui a inspirée tant d’artistes masculins?
http://vimeo.com/66084969
Et si le corps nu n’était pas un corps sans vêtement, mais un corps sans limites ? Accessible à tous, comme le corps prostitué. Touché et touchant. Or par opposition à la vision qui naturellement englobe, le toucher déconstruit l’unité. A travers limites fécondes et découpages qui enrichissent le sens, Perrine Valli construit sa réflexion sur le corps prostitué et la relation qu’il instaure entre le féminin et le masculin. L’homme, principal consommateur, peut-il rester dans l’ombre ? Quel regard pose une femme – chorégraphe sur la prostituée qui a inspirée tant d’artistes masculins?
http://vimeo.com/66084969
Distribution
- Chorégraphie : Perrine Valli
- Interprétation: Perrine Valli et Jennifer Bonn
- Création sonore: Jennifer Bonn
- Scénographie: Marie Szersnovicz et Perrine Valli
- Costumes: Marie Szersnovicz
- Création lumière: Cyril Leclerc
- Vidéoprojection Akatre
- Régie Marie Szersnovicz
- Production compagnie Sam-Hester, Tutu production
- Coproduction Théâtre de l’Usine, Genève, Faits d’Hiver, Paris, Mains D’oeuvres, Paris
- Soutiens ADAMI, Ville de Genève, République et canton de Genève, Pro Helvetia, Fondation suisse pour la culture, Loterie romande, Ernst Göhner Stiftung
