FRESQUE
Jérôme Stünzi, Marius Schaffter
Du 19 mai au 25 mai 2016
Dans Constructionisme, le malicieux Marius Schaffter et l’ingénieux Jérome Stünzi se fendaient d’un jubilatoire travail de déconstruction des mots et des choses jouant de l’arbitraire de la langue et des codes du discours. Refusant d’appeler un chat un chat, les digressions rusées de Schaffter à propos des pièces de son compère plasticien Stünzi, s’en prenaient à la production de sens et à notre façon de signifier nos existences.
Avec Fresque, la recherche continue, toujours teintée de plasticité, puisqu’il est cette fois question d’élaborer un vaste retable. Et comme il n’en est pas souvent coutume dans les arts vivants, il y sera question de mortalité. A l’image de l’Autoportrait à la Mort violoniste du peintre Arnold Böcklin, Fresque est une création qui évoque nos vanités et le désir d’assassiner le temps, ne serait-ce que pour un instant.
Moi, j’me trouvais là par hasard
Dans cet’salle d’expo sur Renoir, quand
Soudain, j’ai croisé ton regard
Dans Constructionisme, le malicieux Marius Schaffter et l’ingénieux Jérome Stünzi se fendaient d’un jubilatoire travail de déconstruction des mots et des choses jouant de l’arbitraire de la langue et des codes du discours. Refusant d’appeler un chat un chat, les digressions rusées de Schaffter à propos des pièces de son compère plasticien Stünzi, s’en prenaient à la production de sens et à notre façon de signifier nos existences.
Avec Fresque, la recherche continue, toujours teintée de plasticité, puisqu’il est cette fois question d’élaborer un vaste retable. Et comme il n’en est pas souvent coutume dans les arts vivants, il y sera question de mortalité. A l’image de l’Autoportrait à la Mort violoniste du peintre Arnold Böcklin, Fresque est une création qui évoque nos vanités et le désir d’assassiner le temps, ne serait-ce que pour un instant.
Moi, j’me trouvais là par hasard
Dans cet’salle d’expo sur Renoir, quand
Soudain, j’ai croisé ton regard
Distribution
- Idée: Marius Schaffter et Jérôme Stünzi
- Conception, construction, textes: Sarah André, Charlotte Herzig, Marius Schaffter et Jérôme Stünzi
- Interprétation: Charlotte Herzig et Marius Schaffter
- Musique et sons: Nicholas Stücklin
- Création lumière: Jonas Buhler
- Administration: Laure Chapel – Pâquis production
- Œil extérieur: Sophie Ballmer
- Production: Old Masters
- Co-production: TU-Théâtre de l’Usine
- Soutiens: Ville de Genève, Loterie Romande, fondation Nestlé pour l’Art, Ernst Göhner Stiftung, Société des Interprètes Suisses, Action intermittent