1976 – PROJET DE CHAISES MUSICALES

Dana Michel

Du 12 janvier au 13 janvier 2011

« Je me sens souvent comme un homme. En raison de mon manque de hanches. De la platitude de ma poitrine. De ma force physique. De mon amour du sport. Mais je suis une femme. Et je jouis d’être une femme. Cette dualité, «femme masculine» ou «homme féminin» s’illustre dans certains de mes intérêts et de mes repères : l’attirance pour l’attitude ostentatoire de la plupart des artistes de rap, l’obsession pour les symboles de la féminité de la culture pop vus à travers le prisme de la culture gay, un amour de l’industrie de la mode haute-couture et un intérêt pour la physicalité des mannequins et un profond sentiment de connexion à de puissantes femmes divas à l’énergie «masculine» telles que Nina Simone, Tina Turner ou Beyoncé.

1976 est une chorégraphie très personnelle avec un côté punk/athlétique/fashion, à travers laquelle Dana Michel observe et explore la complexité des problématiques liées au genre et à l’identité.

A la suite des premières représentations à Montréal, 1976 se transforme en se déplaçant. Alors que Dana continue à danser la même chorégraphie de ville en ville, la bande son originale est remixée par un musicien du cru: d’incise. Dans le même esprit de métamorphose, un danseur local est également invité à revisiter un deuxième solo qui constitue la seconde moitié de la pièce. Rudi Van der Merwe que l’on a vu danser pour Gilles Jobin ou Cindy Van Acker prend place dans l’aventure genevoise.

Première Tangente, Montréal, Canada, janvier 2010

Le texte simplifié n'est pas disponible.

« Je me sens souvent comme un homme. En raison de mon manque de hanches. De la platitude de ma poitrine. De ma force physique. De mon amour du sport. Mais je suis une femme. Et je jouis d’être une femme. Cette dualité, «femme masculine» ou «homme féminin» s’illustre dans certains de mes intérêts et de mes repères : l’attirance pour l’attitude ostentatoire de la plupart des artistes de rap, l’obsession pour les symboles de la féminité de la culture pop vus à travers le prisme de la culture gay, un amour de l’industrie de la mode haute-couture et un intérêt pour la physicalité des mannequins et un profond sentiment de connexion à de puissantes femmes divas à l’énergie «masculine» telles que Nina Simone, Tina Turner ou Beyoncé.

1976 est une chorégraphie très personnelle avec un côté punk/athlétique/fashion, à travers laquelle Dana Michel observe et explore la complexité des problématiques liées au genre et à l’identité.

A la suite des premières représentations à Montréal, 1976 se transforme en se déplaçant. Alors que Dana continue à danser la même chorégraphie de ville en ville, la bande son originale est remixée par un musicien du cru: d’incise. Dans le même esprit de métamorphose, un danseur local est également invité à revisiter un deuxième solo qui constitue la seconde moitié de la pièce. Rudi Van der Merwe que l’on a vu danser pour Gilles Jobin ou Cindy Van Acker prend place dans l’aventure genevoise.

Première Tangente, Montréal, Canada, janvier 2010

Distribution

  • Conception Dana Michel (Can)
  • Chorégraphie et interprétation Dana Michel et Rudy Van der Merwe
  • Sound design Antoine Bedard (Montag)
  • Remix d’incise
  • Lumière et direction technique Tim Rodrigues
  • Co-directeur artistique Mathieu Léger
  • Costumes complexgeometries