Influencé par le psycho acoustique, la musique électronique des pionniers du genre et les rituels chamaniques, D.C.P. a passé de nombreuses années à composer des cloîtres à la maison, entouré de ses machines, synthétiseurs, boîtes à rythme et autres gadgets électroniques.
Le résultat ? De longues soundtracks où les feedbacks sont poussés à l’extrême et les distorsions s’entremêlent pour créer des textures douces, touchantes et apocalyptiques.
Son approche musicale se caractérise par des combinaisons de fréquences hypnotiques qui induisent parfois des sensations dérangeantes chez l’auditeur.