Sahar Suliman
Sahar Suliman, vit et travaille entre Genève et Vaugondry.
Après l’obtention d’un Bachelor orientation cinéma/vidéo à la Haute école d’art et de design de Genève (HEAD-Genève), elle a développé sa recherche artistique en la déplaçant dans son pays d’origine, l’Égypte.
Au Caire, elle a produit plusieurs travaux et enrichi sa démarche en la confrontant à un nouveau milieu artistique. Au travers de ses projets, elle a exploré des thèmes tels que : les femmes dans l’espace public, la mémoire collective, les références culturelles et les structures sociales versus les structures familiales.
Son travail a été présenté à différentes occasions et dans divers lieux, tels que la Halle Nord et le Palais de l’Athénée à Genève, le Carré d’Art de Nîmes, l’Institut Suisse d’art contemporain à New York, les Swiss Art Awards à Bâle, Twonhouse au Caire et récemment au festival Visions du Réel à Nyon.
En intégrant le Master de La Manufacture, elle a déplacé, à nouveau, sa recherche pour expérimenter de nouvelles perspectives vers la danse et la performance.
L’image et le lien, sous toutes leurs formes, sont toujours au centre de sa recherche.
Sahar Suliman, vit et travaille entre Genève et Vaugondry.
Après l’obtention d’un Bachelor orientation cinéma/vidéo à la Haute école d’art et de design de Genève (HEAD-Genève), elle a développé sa recherche artistique en la déplaçant dans son pays d’origine, l’Égypte.
Au Caire, elle a produit plusieurs travaux et enrichi sa démarche en la confrontant à un nouveau milieu artistique. Au travers de ses projets, elle a exploré des thèmes tels que : les femmes dans l’espace public, la mémoire collective, les références culturelles et les structures sociales versus les structures familiales.
Son travail a été présenté à différentes occasions et dans divers lieux, tels que la Halle Nord et le Palais de l’Athénée à Genève, le Carré d’Art de Nîmes, l’Institut Suisse d’art contemporain à New York, les Swiss Art Awards à Bâle, Twonhouse au Caire et récemment au festival Visions du Réel à Nyon.
En intégrant le Master de La Manufacture, elle a déplacé, à nouveau, sa recherche pour expérimenter de nouvelles perspectives vers la danse et la performance.
L’image et le lien, sous toutes leurs formes, sont toujours au centre de sa recherche.
Ain’t got no, I got life
MARGUERITE COMPLEXE, Sahar Suliman, Louise Bentkowski
Du 21 mars au 24 mars 2024
Accessibilité Durée de la pièce: une heure environ. Cette pièce utilise une machine à fumée.