Lydia Lunch / Big Sexy Noise

Lydia Lunch

Le 19 novembre

Concert et projection organisés par le Spoutnik, le TU-Théâtre de l’Usine et Kalvingrad.

  • 19h au Spoutnik : Vortex, Beth B & Scott B, États-Unis, 1982, 90’, n.b., 16mm, VO anglais, avec Lydia Lunch et James Russo.
  • 21h ouverture des porte du TU – Théâtre de l’Usine
  • 22h Concert

If you can’t fuck it, kill it and if you can’t kill it, fuck it !

New York, années 70 : Lydia Lunch, adolescente volant de quoi subsister dans les rues, regarde la scène post-punk américaine naissante et fonde l’entité apocalyptique qui deviendra l’un des groupes phares de la no wave : Teenage Jesus and the Jerks.

Patrimoine vivant du genre, actrice underground, fondatrice de Big Sexy Noise, pourfendeuse de la pop-porn-bullshit, Lydia Lunch se définit aujourd’hui comme « un camionneur pédé emprisonné dans le corps de Mae West » et continue de tourner les salles indés en balançant son spokenword anticapitaliste sur des guitares saturées. Les décennies de militantisme n’ont pas usé celle qui revendique le droit des femmes d’âge mûr à faire de la musique laide et ultraviolente : son aura explosive est intacte et continue d’irradier une blacklight brûlante au visage du patriarcat et de la pornographie de l’argent.

Ayant joué dans le cinéma de Richard Kern et Virginie Despentes, scandé ses textes sur la concrete d’Oxbow ou le rock alternatif des légendaires Sonic Youth, l’artiste traverse les sphères sans jamais perdre de son impact et porte à présent la mémoire de plusieurs générations d’expérimentations politiques.

Hier ou aujourd’hui, Lydia Lunch, c’est comme le monde : c’est pas beau à voir, mais urgent à regarder.

Autours de Lydia Lunch

Concert et projection organisés par le Spoutnik, le TU-Théâtre de l’Usine et Kalvingrad.

  • 19h au Spoutnik : Vortex, Beth B & Scott B, États-Unis, 1982, 90’, n.b., 16mm, VO anglais, avec Lydia Lunch et James Russo.
  • 21h ouverture des porte du TU – Théâtre de l’Usine
  • 22h Concert

If you can’t fuck it, kill it and if you can’t kill it, fuck it !

New York, années 70 : Lydia Lunch, adolescente volant de quoi subsister dans les rues, regarde la scène post-punk américaine naissante et fonde l’entité apocalyptique qui deviendra l’un des groupes phares de la no wave : Teenage Jesus and the Jerks.

Patrimoine vivant du genre, actrice underground, fondatrice de Big Sexy Noise, pourfendeuse de la pop-porn-bullshit, Lydia Lunch se définit aujourd’hui comme « un camionneur pédé emprisonné dans le corps de Mae West » et continue de tourner les salles indés en balançant son spokenword anticapitaliste sur des guitares saturées. Les décennies de militantisme n’ont pas usé celle qui revendique le droit des femmes d’âge mûr à faire de la musique laide et ultraviolente : son aura explosive est intacte et continue d’irradier une blacklight brûlante au visage du patriarcat et de la pornographie de l’argent.

Ayant joué dans le cinéma de Richard Kern et Virginie Despentes, scandé ses textes sur la concrete d’Oxbow ou le rock alternatif des légendaires Sonic Youth, l’artiste traverse les sphères sans jamais perdre de son impact et porte à présent la mémoire de plusieurs générations d’expérimentations politiques.

Hier ou aujourd’hui, Lydia Lunch, c’est comme le monde : c’est pas beau à voir, mais urgent à regarder.

Autours de Lydia Lunch

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TU — Théâtre de l’Usine
Place des Volontaires 4B
1204 Genève

+41 22 328 08 18
info@theatredelusine.ch

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Théâtre de l'Usine 2025
Graphisme : Louise Nelson
Site internet : Daisybell