Ça sent le sapin

Gabriel Goumaz, Simon Bolay, Valentine Paley

Du 04 décembre au 13 décembre 2014

Le titre de la création de ce trio donne le ton ou plutôt l’odeur de leur thématique de travail. En effet, l’expression « ça sent le sapin », que l’on pourrait reformuler par «il y a de la mort dans l’air», trouve son origine dans le fait qu’autrefois les cercueils étaient fabriqués en bois de sapin. Avec cette création est née l’envie d’évoquer la mort en évitant la tentation du morbide. Car c’est ce qui intéresse les artistes en première instance: l’exploration par la danse, le texte et la musique des différents imaginaires liés à cette finitude qui nous concerne tous. Des changements physiques associés à la
décomposition des corps en passant par les approches ethnographiques des rituels funéraires et la dimension psychologique de la disparition, Ça sent le sapin est une pièce ontologique et ludique ainsi qu’une recherche existentielle légère et puissante.

 http://www.frequencemoteur.com/

Le texte simplifié n'est pas disponible.

Le titre de la création de ce trio donne le ton ou plutôt l’odeur de leur thématique de travail. En effet, l’expression « ça sent le sapin », que l’on pourrait reformuler par «il y a de la mort dans l’air», trouve son origine dans le fait qu’autrefois les cercueils étaient fabriqués en bois de sapin. Avec cette création est née l’envie d’évoquer la mort en évitant la tentation du morbide. Car c’est ce qui intéresse les artistes en première instance: l’exploration par la danse, le texte et la musique des différents imaginaires liés à cette finitude qui nous concerne tous. Des changements physiques associés à la
décomposition des corps en passant par les approches ethnographiques des rituels funéraires et la dimension psychologique de la disparition, Ça sent le sapin est une pièce ontologique et ludique ainsi qu’une recherche existentielle légère et puissante.

 http://www.frequencemoteur.com/

Distribution

  • conception et interprétation : Simon Bolay, Gabriel Goumaz et Valentine Paley
  • production : Association Fréquence Moteur
  • coproduction : Théâtre de l’Usine et Théâtre Sévelin 36
  • régie technique : Mikaël Rochat
  • consultant : Guy Cools
  • administration : Alexia Ryf
  • costumes: Hélène Gagliardi
  • photographies : Aline Paley
  • soutiens : Théâtre de lʼUsine, Genève, Théâtre Sévelin 36, Lausanne, Service culturel de la Ville de Vevey, Bourse de la Société Suisse des Auteurs (SSA) pour la Création chorégraphique et Ernst Göhner Stiftung
  • remerciements : Théâtre de l’Usine, Théâtre Sévelin 36, Théâtre de l’Oriental, Tanzhaus Zürich et TMS
  • « Ça sent le sapin » a été créé dans le cadre du projet « Danse et Dramaturgie 2014-2015 » qui bénéficie du soutien de Pro Helvetia, du Fonds culturel de la Société Suisse des Auteurs (SSA) et du Pour-cent culturel Migros.