FEMMOSITÉ

Création

Conjurer cette douceur banalisée, mettre l’impératif du charme à la poubelle et piétiner la tendresse docile d’une féminité martelée et réduite dont on ne sait plus s’accommoder. Avec les chorégraphes Pauline Raineri et Sophie Ammann, c’est la femmosité que l’on cherche. Mot inventé par nos protagonistes, contraction de féminité et animosité, la femmosité c’est une tentative de quitter les injonctions aux apparences pour rendre à la féminité toutes les qualités qui lui ont été refusée depuis bien trop longtemps : de la désobligeance, de l’agressivité mais aussi de l’humour, de la force, de la crasse. La féminité comme un cachot dont on sort grâce à une danse perpétuelle et transformative, plurielle, pleine d’énergie et ensemble car, Les femmes c’est comme les pavés, à force de marcher dessus, on se les prend dans la gueule !

Le texte simplifié n'est pas disponible.

Création

Conjurer cette douceur banalisée, mettre l’impératif du charme à la poubelle et piétiner la tendresse docile d’une féminité martelée et réduite dont on ne sait plus s’accommoder. Avec les chorégraphes Pauline Raineri et Sophie Ammann, c’est la femmosité que l’on cherche. Mot inventé par nos protagonistes, contraction de féminité et animosité, la femmosité c’est une tentative de quitter les injonctions aux apparences pour rendre à la féminité toutes les qualités qui lui ont été refusée depuis bien trop longtemps : de la désobligeance, de l’agressivité mais aussi de l’humour, de la force, de la crasse. La féminité comme un cachot dont on sort grâce à une danse perpétuelle et transformative, plurielle, pleine d’énergie et ensemble car, Les femmes c’est comme les pavés, à force de marcher dessus, on se les prend dans la gueule !