BLESSURE

Avec « BLESSURE », Yann Marussich propose d’ouvrir des espaces et de donner du temps au spectateur afin de lui proposer un voyage au plus profond de son être.

Une installation qui marque, à n’en pas douter, le retour de Cupidon. Descendu de son Olympe pour cette occasion, il lui a offert une petite visite, que nous avons tout loisir d’observer. Mais cette blessure-là, n’est-elle pas, secrètement, notre désir le plus profond, le plus éternel, le plus universel?

« La seule immobilité que l’on pourrait voir, ce sont les morts, mais on nous les cache le plus souvent. On cache la mort. Comme disait Léo Ferré : l’immobilité dérange notre siècle. (…) C’est au spectateur de trouver le mouvement. De trouver l’espace invisible du mouvement. Le spectateur est témoin de mes expériences. » (Y.M.)

http://youtu.be/Hs-GkY9OCJc

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Avec « BLESSURE », Yann Marussich propose d’ouvrir des espaces et de donner du temps au spectateur afin de lui proposer un voyage au plus profond de son être.

Une installation qui marque, à n’en pas douter, le retour de Cupidon. Descendu de son Olympe pour cette occasion, il lui a offert une petite visite, que nous avons tout loisir d’observer. Mais cette blessure-là, n’est-elle pas, secrètement, notre désir le plus profond, le plus éternel, le plus universel?

« La seule immobilité que l’on pourrait voir, ce sont les morts, mais on nous les cache le plus souvent. On cache la mort. Comme disait Léo Ferré : l’immobilité dérange notre siècle. (…) C’est au spectateur de trouver le mouvement. De trouver l’espace invisible du mouvement. Le spectateur est témoin de mes expériences. » (Y.M.)

http://youtu.be/Hs-GkY9OCJc