Communiqué suite aux violences du 18-19 septembre à l’Usine
Le TU dénonce les actes de violences qui ont mené à l’hospitalisation de travailleurs de rue dans la nuit du 18-19 septembre et exprime sa reconnaissance envers les occupantxes/employéxes de l’Usine qui leur ont portés secours.
Solidaire avec les personnes victimes, le TU refuse toute récupération raciste, classiste et xénophobe de ces événements, et tient à rappeler les dangers d’une réponse sécuritaire qui ouvrirait la voie à plus de répressions policières et/ou des formes de maintien de l’ordre contraires à la culture collective et solidaire de l’Usine.
Au TU, nous sommes témoin au quotidien de la précarité et des violences systémiques vécues par les travailleurs de rue. Il est clair que ces violences sont le résultat de politiques migratoires qui stigmatisent les hommes racisés. Nous sommes convaincuxes que les solutions sont à chercher entre autres dans les politiques sociales et le développement de structures d’accueil dignes, de jour comme de nuit, pour les personnes sans-papiers.
Le TU continue de prendre activement part aux réflexions collectives de l’Usine autour des espaces communs, maintient sa programmation et garde ses portes ouvertes aux publics.
Le TU dénonce les actes de violences qui ont mené à l’hospitalisation de travailleurs de rue dans la nuit du 18-19 septembre et exprime sa reconnaissance envers les occupantxes/employéxes de l’Usine qui leur ont portés secours.
Solidaire avec les personnes victimes, le TU refuse toute récupération raciste, classiste et xénophobe de ces événements, et tient à rappeler les dangers d’une réponse sécuritaire qui ouvrirait la voie à plus de répressions policières et/ou des formes de maintien de l’ordre contraires à la culture collective et solidaire de l’Usine.
Au TU, nous sommes témoin au quotidien de la précarité et des violences systémiques vécues par les travailleurs de rue. Il est clair que ces violences sont le résultat de politiques migratoires qui stigmatisent les hommes racisés. Nous sommes convaincuxes que les solutions sont à chercher entre autres dans les politiques sociales et le développement de structures d’accueil dignes, de jour comme de nuit, pour les personnes sans-papiers.
Le TU continue de prendre activement part aux réflexions collectives de l’Usine autour des espaces communs, maintient sa programmation et garde ses portes ouvertes aux publics.
