Markus Öhrn

Markus Öhrn ne vient pas directement du monde du théâtre, mais plutôt de celui des arts plastiques. Des affinités électives avec des membres des compagnies Institutet (Suède) et Nya Rampen (Finlande), installés comme lui à Berlin, l’ont conduit par effraction vers la scène. C’est à leur demande que le plasticien suédois s’est penché sur l’orchestration de spectacles aux confins de l’art dramatique et de la performance. Vidéaste de formation, Markus Öhrn met en œuvre un langage singulier, dont la puissance évocatrice se passe de mots et réinvente l’espace scénique par une multiplication des points de vue. Ensemble, Markus Öhrn et les acteurs exclusivement masculins d’Institutet et de Nya Rampen donnent naissance à des œuvres dérangeantes et iconoclastes qui révèlent l’inconscient sombre de nos sociétés patriarcales et ont pour ambition de se faire «critique incarnée». Qu’elles investissent le champ de la culture populaire (série télévisée, chanson pop) ou celui du fait divers, ces pièces bousculent les relations entre le public et les performeurs. En 2010, Conte d’amour, sa première mise en scène pour le théâtre, gagne le Premier Prix au festival Impulse 2011 en Allemagne. Conte d’amour est le premier volet d’une trilogie qui a été suivie des performances We Love Africa and Africa Loves Us (2012) et Bis Zum Tod (2014).

Le texte simplifié n'est pas disponible.

Markus Öhrn ne vient pas directement du monde du théâtre, mais plutôt de celui des arts plastiques. Des affinités électives avec des membres des compagnies Institutet (Suède) et Nya Rampen (Finlande), installés comme lui à Berlin, l’ont conduit par effraction vers la scène. C’est à leur demande que le plasticien suédois s’est penché sur l’orchestration de spectacles aux confins de l’art dramatique et de la performance. Vidéaste de formation, Markus Öhrn met en œuvre un langage singulier, dont la puissance évocatrice se passe de mots et réinvente l’espace scénique par une multiplication des points de vue. Ensemble, Markus Öhrn et les acteurs exclusivement masculins d’Institutet et de Nya Rampen donnent naissance à des œuvres dérangeantes et iconoclastes qui révèlent l’inconscient sombre de nos sociétés patriarcales et ont pour ambition de se faire «critique incarnée». Qu’elles investissent le champ de la culture populaire (série télévisée, chanson pop) ou celui du fait divers, ces pièces bousculent les relations entre le public et les performeurs. En 2010, Conte d’amour, sa première mise en scène pour le théâtre, gagne le Premier Prix au festival Impulse 2011 en Allemagne. Conte d’amour est le premier volet d’une trilogie qui a été suivie des performances We Love Africa and Africa Loves Us (2012) et Bis Zum Tod (2014).


HOMINAL / ÖHRN

Du 12 avril au 18 avril 2018

Passé

OUVER-TU-RE PARTIE 2

Le 01 janvier