JEROME JUNOD

Les Débiteurs se sont formés en 2001, avec un noyau dur de quatre universitaires. Après plusieurs projets semi-professionnels (Strindberg, Racine, Sophocle), nous avons fréquenté trois écoles de théâtre différentes, à l’issue desquelles nous nous retrouvons désormais.

Les Débiteurs privilégient un théâtre de réflexion qui jamais ne néglige le plaisir du spectateur, un théâtre de comédiens ouvert aux formes et techniques parallèles, un théâtre politique qui privilégie l’évocation des problèmes à l’affirmation des solutions, un théâtre conscient de ses origines et non fixé sur l’innovation, un théâtre amoureux de la vie et non du théâtre.

Jérôme Junod, mise en scène

Licencié en Lettres de l’Université de Lausanne et Magister en mise en scène au Max Reinhardt Seminar de Vienne. Il met en scène en Romandie La Thébaïde de Racine (2.21, 2004) et Electre de Sophocle (2.21 et Passage, 2005). A Vienne, il explore des écritures aussi diverses que Hannah Arendt (Eichmann.Etüde, 2006), Sarah Kane (Gesäubert, 2007), Tchékhov (Drei Schwestern, 2008), Büchner entre autres (Dantons Tod, 2009, Prix de la mise en scène au Festival Setkani de Brno), ou encore Stephen King (Carrie, 2010).

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Les Débiteurs se sont formés en 2001, avec un noyau dur de quatre universitaires. Après plusieurs projets semi-professionnels (Strindberg, Racine, Sophocle), nous avons fréquenté trois écoles de théâtre différentes, à l’issue desquelles nous nous retrouvons désormais.

Les Débiteurs privilégient un théâtre de réflexion qui jamais ne néglige le plaisir du spectateur, un théâtre de comédiens ouvert aux formes et techniques parallèles, un théâtre politique qui privilégie l’évocation des problèmes à l’affirmation des solutions, un théâtre conscient de ses origines et non fixé sur l’innovation, un théâtre amoureux de la vie et non du théâtre.

Jérôme Junod, mise en scène

Licencié en Lettres de l’Université de Lausanne et Magister en mise en scène au Max Reinhardt Seminar de Vienne. Il met en scène en Romandie La Thébaïde de Racine (2.21, 2004) et Electre de Sophocle (2.21 et Passage, 2005). A Vienne, il explore des écritures aussi diverses que Hannah Arendt (Eichmann.Etüde, 2006), Sarah Kane (Gesäubert, 2007), Tchékhov (Drei Schwestern, 2008), Büchner entre autres (Dantons Tod, 2009, Prix de la mise en scène au Festival Setkani de Brno), ou encore Stephen King (Carrie, 2010).


ATTEINTES A SA VIE

Du 18 mai au 23 mai 2010

Passé