SOIRÉE DE SOUTIEN

Le 07 janvier

En collaboration avec Kakakids Records

Le TU et la CJS – Caisse Juridique de Soutien, caisse de soutien aux victimes de la répression – co-organisent une soirée prix libre comme on les aime pour danser longtemps et faire siffler les tympans.
Première partie de soirée avec une discussion sur la répression policière à Genève* animée par le groupe anti-répression qui se conclura avec une bouffe prix libre. On amorce la deuxième partie de soirée avec OSO EL ROTO gros malade du lo-fi avec cri et guitare mal-traitée qui suivra avec DADALU, Hip-hop dégénéré qui a traversé le Pacifique depuis le Chili. Ensuite c’est BADBAD qui prendra possession de ton corps avec un gros son electronic noise punk et ça terminera avec ARTMAILLÉ qu’on connaît bien dans le coin pour nous avoir déjà fait passer quelques soirées de rêve.

19h:
présentation / discussion sur le maintien de l’ordre à Genève, animée par le groupe anti-répression*
20h30:
bouffe
Dès 22h:
OSO EL ROTO / one man band guitare K7 / Bordeaux
DADALU / hip-hop dégénéré / Santiago du Chili
BADBAD / electronic noise punk / Paris
ARTMAILLÉ / kraut dub industrial disco / Genève

* L’année 2015 à été riche en mouvements sociaux à Genève. Des manifestations NoBunkers à la manifestation du 19 décembre, en passant par les grèves de fonctionnaires et de maçons ou encore les mobilisations pour soutenir l’Usine, on aura étés nombreuses dans les rues. En 2016, de nombreuses interpellations ont eu lieu concernant le 19 décembre et par 2 fois la police à nassé des groupes se personnes se rendant à une manifestation afin de les contrôler préventivement puis les a libéré face au refus des personnes et à la solidarité du reste des manifestants.
Durant l’été 2015, on laisse NoBunkers manifester librement et sauvagement pour les traiter d’imposteurs à la fin de l’été. On tolère des occupations de bâtiments publics mais on tabasse et menace des personnes en exil participant au mouvement. On mobilise des robocops et on hésite pas à les montrer lors des différentes grèves. Et finalement, alors que depuis plus de 10 ans on a l’impression d’assister à un déploiement policier démesuré à la moindre manifestation, une « sauvage » de 400 personnes surprend la police Genevoise qui ne sera pas assez nombreuse pour intervenir.
Avec le groupe anti-répression nous nous sommes demandées quelles étaient les théories adoptées par la police Genevoise pour définir la stratégie de maintien de l’ordre lors des manifestations. En revenant sur les différents épisodes des deux dernières années puis en faisant un rapide tour d’horizon des différentes doctrines de maintien de l’ordre existantes nous voulons essayer de comprendre leur fonctionnement pour pouvoir développer des stratégies en conséquence.

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En collaboration avec Kakakids Records

Le TU et la CJS – Caisse Juridique de Soutien, caisse de soutien aux victimes de la répression – co-organisent une soirée prix libre comme on les aime pour danser longtemps et faire siffler les tympans.
Première partie de soirée avec une discussion sur la répression policière à Genève* animée par le groupe anti-répression qui se conclura avec une bouffe prix libre. On amorce la deuxième partie de soirée avec OSO EL ROTO gros malade du lo-fi avec cri et guitare mal-traitée qui suivra avec DADALU, Hip-hop dégénéré qui a traversé le Pacifique depuis le Chili. Ensuite c’est BADBAD qui prendra possession de ton corps avec un gros son electronic noise punk et ça terminera avec ARTMAILLÉ qu’on connaît bien dans le coin pour nous avoir déjà fait passer quelques soirées de rêve.

19h:
présentation / discussion sur le maintien de l’ordre à Genève, animée par le groupe anti-répression*
20h30:
bouffe
Dès 22h:
OSO EL ROTO / one man band guitare K7 / Bordeaux
DADALU / hip-hop dégénéré / Santiago du Chili
BADBAD / electronic noise punk / Paris
ARTMAILLÉ / kraut dub industrial disco / Genève

* L’année 2015 à été riche en mouvements sociaux à Genève. Des manifestations NoBunkers à la manifestation du 19 décembre, en passant par les grèves de fonctionnaires et de maçons ou encore les mobilisations pour soutenir l’Usine, on aura étés nombreuses dans les rues. En 2016, de nombreuses interpellations ont eu lieu concernant le 19 décembre et par 2 fois la police à nassé des groupes se personnes se rendant à une manifestation afin de les contrôler préventivement puis les a libéré face au refus des personnes et à la solidarité du reste des manifestants.
Durant l’été 2015, on laisse NoBunkers manifester librement et sauvagement pour les traiter d’imposteurs à la fin de l’été. On tolère des occupations de bâtiments publics mais on tabasse et menace des personnes en exil participant au mouvement. On mobilise des robocops et on hésite pas à les montrer lors des différentes grèves. Et finalement, alors que depuis plus de 10 ans on a l’impression d’assister à un déploiement policier démesuré à la moindre manifestation, une « sauvage » de 400 personnes surprend la police Genevoise qui ne sera pas assez nombreuse pour intervenir.
Avec le groupe anti-répression nous nous sommes demandées quelles étaient les théories adoptées par la police Genevoise pour définir la stratégie de maintien de l’ordre lors des manifestations. En revenant sur les différents épisodes des deux dernières années puis en faisant un rapide tour d’horizon des différentes doctrines de maintien de l’ordre existantes nous voulons essayer de comprendre leur fonctionnement pour pouvoir développer des stratégies en conséquence.