28 M2 DE DESIR

28 m2 de désir évoque le désir de transformer notre quotidien, de changer de peau ou d’en effleurer d’autres. Le désir de vivre ou de ne pas mourir, d’être là ou ailleurs. De changer le monde ou de changer de monde. Un spectacle drôle, parfois grinçant, mais humble, car il s’agit d’un cerveau, celui de l’artiste, n’éclairant qu’une partie infime d’un vaste sujet, soit 28m2 la taille de la scène. Un show intelligemment bouffon.

Le spectacle se divise en cinq parties qui traitent de cinq types de désir :

  • désir de puissance
  • désir d’un ailleurs meilleur
  • désir sexuel
  • désir d’éternité
  • désir à domicile avec la vente du jeu “Jeros”, jeu de société érotique spécialement conçu pour le spectacle

Ainsi, Gaspard Buma illustre la force et la bêtise que nous procurent nos désirs et nous offre un one-man show intelligemment bouffon. Accompagné par la contrebassiste Joce- lyne Rudasigwa, il promet un périple scénique allant du récit au chant, de l’expérience sur cobaye à la reconstruction du mobile du crime, en passant par la vente de matériel pour l’accroissement du désir au sein du couple. Un spectacle drôle, parfois grinçant, mais humble, car il s’agit d’un cerveau, celui de l’artiste, n’éclairant qu’une partie infime d’un vaste sujet, soit 28m2 la taille de la scène.
Actif dans des spectacles performatifs depuis 1998 et lauréat de la bourse fédérale des Beaux-Arts 2005, Gaspard Buma a présenté plusieurs projets à l’Arsenic. Au Festival Les Urbaines (2003), il vantait les qualités de son logiciel d’aide à la résolution d’états de crise Draw Your Life et cherchait a restauré notre harmonie intérieure avec la per- formance Harmonie Restore Tools. Plus récemment, dans le cadre d’un week-end dédié à la performance, il présentait Partition pour 8 muscles et 1 sampler (2005).

Le texte simplifié n'est pas disponible.

28 m2 de désir évoque le désir de transformer notre quotidien, de changer de peau ou d’en effleurer d’autres. Le désir de vivre ou de ne pas mourir, d’être là ou ailleurs. De changer le monde ou de changer de monde. Un spectacle drôle, parfois grinçant, mais humble, car il s’agit d’un cerveau, celui de l’artiste, n’éclairant qu’une partie infime d’un vaste sujet, soit 28m2 la taille de la scène. Un show intelligemment bouffon.

Le spectacle se divise en cinq parties qui traitent de cinq types de désir :

  • désir de puissance
  • désir d’un ailleurs meilleur
  • désir sexuel
  • désir d’éternité
  • désir à domicile avec la vente du jeu “Jeros”, jeu de société érotique spécialement conçu pour le spectacle

Ainsi, Gaspard Buma illustre la force et la bêtise que nous procurent nos désirs et nous offre un one-man show intelligemment bouffon. Accompagné par la contrebassiste Joce- lyne Rudasigwa, il promet un périple scénique allant du récit au chant, de l’expérience sur cobaye à la reconstruction du mobile du crime, en passant par la vente de matériel pour l’accroissement du désir au sein du couple. Un spectacle drôle, parfois grinçant, mais humble, car il s’agit d’un cerveau, celui de l’artiste, n’éclairant qu’une partie infime d’un vaste sujet, soit 28m2 la taille de la scène.
Actif dans des spectacles performatifs depuis 1998 et lauréat de la bourse fédérale des Beaux-Arts 2005, Gaspard Buma a présenté plusieurs projets à l’Arsenic. Au Festival Les Urbaines (2003), il vantait les qualités de son logiciel d’aide à la résolution d’états de crise Draw Your Life et cherchait a restauré notre harmonie intérieure avec la per- formance Harmonie Restore Tools. Plus récemment, dans le cadre d’un week-end dédié à la performance, il présentait Partition pour 8 muscles et 1 sampler (2005).