Pamina de Coulon

Pamina de Coulon est née à Châtel-St-Denis et a grandi sur la Riviera Vaudoise. Elle vit et travaille actuellement entre la Suisse et la Belgique. C’est à la Haute Ecole d’Art et de Design de Genève (2007-2010) qu’elle a d’abord développé sa pratique notamment sous l’enseignement de Yan Duyvendak, Christophe Kihm, Josep-Maria Martín, Lina Sane. En 2011, elle arrive à Bruxelles où elle entame une première recherche à L’L (lieu de recherche et d’accompagnement pour la jeune création), qui va mener à la création de sa troisième pièce : Si j’apprends à pêcher je mangerai toute ma vie. Parallèlement à ce travail, Pamina suit un master en gestion culturelle à l’ULB (2011-2014). Son mémoire, intitulé ‘A la recherche du temps perdu’, vers un slow art ? Les workspaces bruxellois comme inspiration d’une gestion culturelle contemporaine, explore la place fragile, mais néanmoins privilégiée, de la recherche artistique dans le microcosme culturel bruxellois et les différentes manières possibles de nourrir par là d’autres pratiques d’organisation. Son intérêt pour les démarches collaboratives et le développement d’un champ artistique expérimental durable a fait que, de fin 2012 à 2016, elle est également codirectrice artistique du BÂTARD festival à Bruxelles, aux côtés de Dries Douibi et Michiel Vandevelde.

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Pamina de Coulon est née à Châtel-St-Denis et a grandi sur la Riviera Vaudoise. Elle vit et travaille actuellement entre la Suisse et la Belgique. C’est à la Haute Ecole d’Art et de Design de Genève (2007-2010) qu’elle a d’abord développé sa pratique notamment sous l’enseignement de Yan Duyvendak, Christophe Kihm, Josep-Maria Martín, Lina Sane. En 2011, elle arrive à Bruxelles où elle entame une première recherche à L’L (lieu de recherche et d’accompagnement pour la jeune création), qui va mener à la création de sa troisième pièce : Si j’apprends à pêcher je mangerai toute ma vie. Parallèlement à ce travail, Pamina suit un master en gestion culturelle à l’ULB (2011-2014). Son mémoire, intitulé ‘A la recherche du temps perdu’, vers un slow art ? Les workspaces bruxellois comme inspiration d’une gestion culturelle contemporaine, explore la place fragile, mais néanmoins privilégiée, de la recherche artistique dans le microcosme culturel bruxellois et les différentes manières possibles de nourrir par là d’autres pratiques d’organisation. Son intérêt pour les démarches collaboratives et le développement d’un champ artistique expérimental durable a fait que, de fin 2012 à 2016, elle est également codirectrice artistique du BÂTARD festival à Bruxelles, aux côtés de Dries Douibi et Michiel Vandevelde.


FIRE OF EMOTIONS: THE ABYSS

Du 16 mars au 22 mars 2017

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